Surveillance de Masse : Comprendre l’Illusion de l’Innocuité

Le documentaire “Nothing to Hide” (2017) explore les dangers de la surveillance de masse, souvent perçue comme inoffensive par ceux qui pensent n’avoir “rien à cacher”. Il montre comment les gouvernements et les entreprises collectent, analysent et utilisent nos données personnelles, même sans notre consentement explicite.

  • L’illusion du “rien à cacher” : Beaucoup pensent que la surveillance ne les concerne pas. Pourtant, le documentaire démontre que chacun a des aspects de sa vie privée qu’il préfère garder pour soi, que ce soit des habitudes, des opinions ou des relations.
  • Une collecte de données omniprésente : Nos téléphones, recherches en ligne, réseaux sociaux et même nos métadonnées (comme les lieux visités ou les contacts fréquents) tracent un portrait détaillé de nos vies, souvent à notre insu.
  • Des conséquences profondes : Cette surveillance massive ne se limite pas à de simples publicités ciblées. Elle peut influencer notre comportement, limiter notre créativité et dissuader la participation à des mouvements sociaux ou politiques.
  • Un contrôle subtil : En analysant nos données, les entreprises et gouvernements peuvent anticiper nos actions ou nous discriminer, par exemple dans l’accès à des prêts ou des assurances.
  • Des parallèles inquiétants : Le documentaire rappelle des exemples historiques, comme la surveillance de masse sous des régimes autoritaires, pour alerter sur les risques de dérives dans nos sociétés modernes.
  • Agir pour préserver nos libertés : Il propose des solutions concrètes, comme utiliser des outils respectueux de la vie privée (Signal, Tor) ou exiger plus de transparence des entreprises et des gouvernements.

Conclusion :

“Nothing to Hide” nous pousse à réfléchir sur notre rapport à la vie privée et sur les implications de cette surveillance invisible mais omniprésente. Il souligne que protéger nos données, ce n’est pas seulement se protéger soi-même, mais aussi défendre nos libertés et notre démocratie.

Peut-on éteindre Internet ?

Pour arrêter réellement Internet, il faudrait couper les 428 câbles sous-marins qui, posés au fond des océans, acheminent messages, mails et vidéos d’un bout à l’autre de la planète (ainsi que cet article, de nous jusqu’à vous). Ces câbles, tout le monde les oublie.

https://usbeketrica.com/article/peut-on-eteindre-internet

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Tremblements

Une animation incluant des événements dévastateurs et leurs tsunamis.
Les plus gros enregistrés :
8.8 — Ecuador — 31January 1906
8.4 — Kamchatka, Russia — 3 February 1923
8.4 — Sanriku, Japan — 2 March 1933
8.6 — Unimak Island, Aleutian Islands — 1 April 1946
9.0 — Kamchatka, Russia — 4 November 1952
8.6 — Andreanof Islands, Aleutian Islands — 9 March 1957
9.5 — Valdivia, Chile — 22 May 1960
9.2 — Prince William Sound, Alaska — 28 March 1964
8.7 — Rat Islands, Aleutian Islands — 4 February 1965

Les compromissions politiques : Ce que cache la presse

Ce livre nous refait l’histoire de la mise en place par le système politico-industriel du phénomène Marcon. De nombreux faits-compromissions-conflits d’intérêts-etc , sourcés et documentés, sont ainsi mis à la connaissance des lecteurs. Des faits et pratiques largement connus dans le landerneau médiatico-politique parisien, on ne peut que se poser la question sur le manque de réaction des politiques et des médias: si la moitié de ce qui est avancé ici était des calomnies, il y aurait eu depuis longtemps des attaques en diffamation, voire plus…

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Le grand bradage de la France

On est dirigés par des gens qui sont convaincus de l’inutilité de l’institution qui les a faits. Il y a un phénomène d’abandon de l’élite administrative, les hauts fonctionnaires d’État, qui abandonne l’institution par laquelle elle a été faite et qu’elle devait servir. Et si c’est le cas, ça veut dire effectivement que le pouvoir n’y est plus. D’ailleurs, si on veut voir où est le pouvoir, Il faut suivre ceux qui le servent. Et si ceux qui le servent ne servent plus l’Etat, c’est qu’il est ailleurs. On est en train de devenir une colonie, on l’est déjà sur le plan idéologique, et on va le devenir de plus en plus sur le plan économique et bientôt sur le plan politique. »
François-Xavier Dudouet, Sociologue et Chercheur au CNRS