On n’oublie pas : François Berléand…

Entre leçons de morale, mépris de classe et soutien aveugle au pouvoir 🎭

🎬 Un acteur, des opinions, beaucoup de certitudes

François Berléand n’est pas qu’un visage familier du cinéma français. Ces dernières années, il s’est transformé en donneur de leçons médiatique, affichant à la fois un soutien aveugle à Emmanuel Macron 🤝, un mépris assumé pour les mouvements populaires, et une intolérance affichée envers toute forme de désaccord.


🧭 Un parcours politique en pilotage automatique

Se réclamant de la social-démocratie, Berléand a soutenu François Bayrou en 2007, avant de tomber dans les bras de Macron dès 2017. Il récidive en 2022, se déclarant sans détour « très macroniste ».

Présent à la soirée de célébration du second tour en 2017, il n’a jamais caché son alignement idéologique total avec le pouvoir en place.

Une fidélité qui frise l’aveuglement.


💥 Les Gilets jaunes ? “Ils me font chier”

En 2019, au micro de RTL 📻, Berléand lâche :

« Moi, depuis le début, ils me font chier les Gilets jaunes. »

Pas d’analyse, pas de nuance. Juste un ras-le-bol bourgeois face à ceux qui manifestent pour survivre.

Il dénonce l’entrave à la « liberté de circuler et de travailler », mais ignore complètement la souffrance sociale derrière les barricades.


🧪 Crise sanitaire : entre militantisme vaccinal et mépris assumé

Pendant la pandémie, Berléand ne se contente pas de soutenir la vaccination : il insulte ouvertement ceux qui doutent :

« Les gens qui ne croient pas en la science sont des crétins. »
« Que les crétins qui refusent de se faire vacciner se soignent seuls. »

Quand Macron parle “d’emmerder” les non-vaccinés, Berléand s’en offusque à peine:

« Un peu dur… mais il faut dire les choses comme elles sont. »


👨‍👩‍👧 Une expérience personnelle… mais toujours dans la ligne

Sa compagne attrape le COVID, lui-même est infecté sans symptômes. Mais loin de prendre du recul, il continue à relayer la ligne officielle.

Il se plaint de ne pas voir ses petits-enfants à cause des règles sanitaires, tout en soutenant ces mêmes mesures.

Un bel exemple de contradiction ✖️➕.


🎭 Conclusion : la bien-pensance version plateau télé

François Berléand, acteur respecté, s’est mué en porte-parole d’un conformisme rigide.
Dès qu’on parle d’opposition populaire, de contestation ou de liberté individuelle, il préfère insulter plutôt que comprendre.

C’est le prototype de l’artiste bien assis, bien nourri, qui défend le pouvoir et crache sur la base.

🎙️ Un comédien devenu caricature de lui-même.