Une France sans nucléaire…

Les solutions pour passer à d’autres sources d’énergies efficaces et les initiatives pour réduire la consommation existent, et même si pour certaines elles paraissent contraignantes, il est plus que temps que les choses commencent à bouger !
Le pourcentage des incidents reconnus dans les centrales augmentent d’année en année, et avec le parc vieillissant ça ne peut que se gâter.
Statistiquement c’est chaud, sans tenir compte des facteurs humains (erreur humaine, terrorisme,…) et géologique par exemple lien
Après ces 2 épreuves que furent Fukushima et Tchernobyl, on peut sans conteste dire que le prix à payer est bien trop cher !
…nous pouvons dire avec une fiabilité de 80 % (autrement dit, en utilisant une méthode qui donne un résultat correct dans 80 % des cas) que la probabilité qu’il y ait, dans les trente prochaines années, au moins un accident nucléaire majeur en Europe, est comprise entre 35 % et 88 %. Ce résultat, bien plus raisonnable sur la méthode, est en lui-même inquiétant puisqu’il conduit à penser qu’un accident nucléaire majeur est loin d’être improbable...” lien

Un graphique éloquent et parlant :
Une France sans nucléaire, ça marche ! – Réseau “Sortir du nucléaire”
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miam miam !


Une enzyme pour lier les protéines entre elles ; l’occasion d’agréger ensemble morceaux mangeables avec viscères, peau et autre amuse gueule !!
bienvenue dans le monde de Tricatel 🙂
bon appétit

quant aux nuggets…
le fait qu’ils sont constitués quasiment du poulet entier mixé, passé à la passoire et à l’ammoniaque (pour prévenir des bactéries) est bien connu
nuggets

…mais la petite expérience menée par Jamie Oliver auprès d’un jeune public dont la réaction finale est toujours identique… surprenant…

les zoos

Le jour où les humains comprendront qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires… », écrit Boris Cyrulnik.

Sanna [2] a brossé le sombre tableau de la situation des gorilles qui mangent leurs excréments, des lions qui urinent en direction des visiteurs, des lionnes qui dévorent leurs petits, des singes qui crachent sur les passants, d’ours qui quêtent comme des clochards — sans parler de l’automutilation, des tics de balancement, l’hypersexualité ou la perte totale d’appétit sexuel, l’abandon des petits, les comportements d’agressivité maniaque. Plusieurs bêtes, sous l’effet conjugué des psychotropes et de la sédentarité forcée, deviennent littéralement catatoniques. Des études ont d’ailleurs démontré que le cerveau de l’animal gardé longtemps en captivité est plus petit [3]. Ses pulsions et instincts fondamentaux sont altérés. De même, ses facultés sensorielles diminuent de façon sensible.
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