Super trash

Sortie le 9 octobre d’un film qui s’annonce bien gore…
Capture d’écran 2013-09-28 à 10.27.41
SYNOPSIS
Martin revient sur les lieux de son enfance. Ces lieux sont maintenant ensevelis par une gigantesque décharge à ciel ouvert.
Seule sa cabane est toujours là, un ancien abri pour les ouvriers agricoles de l’époque, maintenant à la lisière de la décharge. Il décide de s’y installer et de vivre dans ce monde fait d!ordures et rythmé par le ballet, le va-et-vient incessant des camions et bulldozers qui déchargent et nivellent les déchets. Petit à petit les employés de la décharge se familiarisent avec sa présence et lui révèlent les secrets de cette “zone“ : l’endroit de l!enfouissement des fûts d!arsenic, le trajet du lixiviat, ce jus de décharge, ce poison mortel qui s!écoule à travers une rivière sauvage et foisonnante jusqu!à la mer. Martin, au fil des jours et des mois, va faire son trou dans ce monde invivable jusqu’à sembler aller vers la folie. Il se nourrit des ordures. Il essaye, malgré tout, de recréer un univers vivable au milieu de la valse des camions qui l’évitent en le frôlant. Le jeune homme ne veut pas se résigner, il essaye de rendre cet univers ludique, humain. Il écrit dans sa cabane son journal, ses pensées. Il se lave dans la rivière chaque jour comme de retour à un monde primaire. Il soigne les animaux prisonniers de cet enfer, il surfe sur la vague géante générée par les détritus. Il est au-delà de la dénonciation, il essaye par ce film, dans un effort désespéré, de faire une métaphore de notre monde loin de la culpabilité. Il ne veut pas accepter cet univers qui lui a été imposé, il veut se l’approprier, l’ingérer, le digérer.
Jusqu’au jour de la fermeture définitive où il sauvera une dernière mouette de l’empoisonnement. La décharge fermée, Martin erre dans ce no man’s land, avec sa caméra. Il enterre des oiseaux, traîne parmi les Caterpillar abandonnés comme s’il ne pouvait se résoudre à quitter cet endroit. Tout est recouvert de terre, mais comme des fantômes, des sacs de plastique s’échappent du sol et volent dans le ciel emportés par le vent et qui frappent la caméra.

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Greenwashing ou réelle volonté ?

Afin de remplacer l’aspartame dans ses boissons, Coca-Cola vient de lancer une nouvelle formule de sa célèbre boisson light à base de stévia. Le stévia est un édulcorant naturel issu d’une plante tropicale d’Amérique du Sud dont le glycoside peut être jusqu’à 300 fois plus doux que le sucre, les calories en moins. Cette nouvelle boisson contient donc, entre autres, deux fois moins de sucre que le Coke régulier.

Coca-Cola Life: le tout nouveau, light et Coca-Cola bio.

EFSA animation

CEO publie un nouvel outil de vulgarisation expliquant quelques-uns des principaux problèmes de l’EFSA, l’agence chargée de délivrer des recommandations scientifiques en matière de sécurité alimentaire aux autorités européennes.

Ce film d’animation de trois minutes vous permet d’en apprendre davantage sur le fonctionnement de l’EFSA et dans quelle mesure celui-ci bénéficie à l’industrie agro-alimentaire et à des multinationales des pesticides et des biotech telles que Monsanto, Syngenta, Unilever, Nestlé…

via.

pour en savoir plus : article sur agoravox contenant de nombreux liens explicatifs
http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/cette-terre-qui-crie-non-santo-136951

éco-citoyen dans l’alimentation

Monstrueux gaspillages !
Un article récapitulatif de différents moyens pour consommer intelligemment

Il est urgent de réduire de moitié le gaspillage alimentaire dans l'UE

Le gaspillage alimentaire en chiffres
Gaspillage alimentaire dans l’UE27: 89 millions de tonnes par an (soit 179 kg par habitant)

Prévisions pour 2020 (à défaut de mesures): 126 millions de tonnes (soit une hausse de 40 %)

Origine du gaspillage:

– ménages: 42 % (ici, le gaspillage peut être évité à 60%)

– industrie agroalimentaire: 39 %

– détaillants: 5 %

– secteur de la restauration: 14 %

Il est urgent de réduire de moitié le gaspillage alimentaire dans l’UE

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