…pour la fin de l’abattage sans étourdissement préalable.
Il faut bien commencer par un bout, et ce serait un bon début !
Auteur/autrice : wazooo
Ni dans mon assiette
Texte de la partie du livre Agriculture, Développement durable et mondialisation
Kissinger “Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation. Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir“
PÉPITE VIDÉO : DOC GYNÉCO FEAT. BERNARD TAPIE
Un morceau rétrospectivement fou, porté par une punchline récurrente très osée : “Dans le foot, les affaires, le rap, les ministères, c’est toujours le gangster qui contrôle l’affaire.” Mieux encore, l’ancien président de l’OM, casquette de chauffeur vissée sur la tête, interroge Gynéco : “Dis Bruno, à ton avis, qu’est ce qu’on vient foutre ici ?” et le Docteur de répondre : “Engraisser des banquiers qui sur nos vies font des crédits.“
http://prod-3.konbini.com/embed/music-fr-doc-gyneco-bernard-tapie-feat-assia-c-est-beau-la-vie?
Une batterie à partir de bois !
Batterie écologique est fabriquée à base de sodium et d’un éclat de bois recouvert d’étain. Les fibres de bois ont été utilisées pour leur flexibilité. La nanobatterie sodium-ion peut être rechargée plus de 400 fois. Des tests ont été effectués et la batterie était toujours intacte. Une piste intéressante pour les futures batteries durables, donc.
Une batterie écologique… à partir de bois.
Le Big Mac, bombe calorique
Et pour rester dans les bonnes choses venues d’outre atlantique, peut être bientôt chez nous :
Additifs alimentaires : 8 produits consommés aux États-Unis et interdits ailleurs
Codebarre : petit rappel
Pour connaitre le pays émetteur d’un produit grâce aux 3 premiers chiffres
CHINA = 690–692
USA and CANADA = 00–09
FRANCE = 30–37
GERMANY = 40–44
JAPAN = 49
et
TAIWAN = 47
SANTO 13/07/15 OGM
Un film pour sensibiliser encore davantage l’opinion des effets à venir des produits Mosanto et acolytes et qui cherche des souscripteurs
SANTO 13/07/15 OGM Film par Everest Bord Photos – Kickstarter
Liens pour rester dans le sujet et comprendre rapidement ce qui est en jeu :
Etude russe sur les effets des OGN
Liste des compagnies utilisant des produits estampillés Mosanto à éviter
Monsanto et son soja «responsable»
Retour sur un article daté de juillet 2011 nous expliquant le tour de passe-passe de Mosanto
Cauchemar Américain
Quand les “élites” Françaises et Européennes vont-elles en finir avec leur complaisance envers les USA ?
Stupeur mondiale : l’Inde s’est plaint à l’ONU que la Chine venait de bombarder un petit village du Bengale avec une escadrille de Mig pour éliminer le Dalaï-Lama en tuant 270 civils essentiellement des femmes et des enfants. Evidemment, aussitôt, l’ensemble de la presse mondiale, à juste titre, s’indigne, envoie des centaines de reporters et caméramans montrer au monde cette monstruosité, le Conseil de sécurité est saisi. On est au bord de la guerre quand on apprend que la Chine envoie impunément ses drones au Vietnam, en Indonésie, aux Philippines assassiner des terroristes séparatistes Ouïgours ou Tibétains, tuant en même temps des milliers de femmes et d’enfants de ces pays. Evidemment les USA et tous les pays de l’UE, comme le Japon et le Mexique se déclarent solidaires des pays dont la souveraineté a été violée, dans le sang qui plus est.
Horreur, on apprend que la Russie a fait enlever, dans le monde entier, des ennemis présumés de son pays, les a fait torturer, assassiner , par centaines dans des centres de détention en Moldavie, en Biélorussie, en Azerbaïdjan, au Venezuela, en Argentine, en Islande. Pire, la Russie entretient une prison militaire en Iran dans laquelle végètent des centaines de gens enlevés un peu partout dans le monde car soupçonnés d’en vouloir au pays. BHL s’enflamme, DCB exige une opération militaire, Kouchner parle de crime contre l’humanité et de totalitarisme.
Terrible, un jeune Russe révèle que son pays espionne chaque citoyen, chaque état avec un réseau dément d’écoute cybernétique. Aussitôt, il s’échappe et demande l’asile à la Grande-Bretagne. Le monde entier le salue comme un héros de la défense de la liberté et des droits de l’homme. Obama le propose même pour le Nobel de la paix. Evidemment, la Russie réclame le « traitre », lui réservant le même sort indigne qu’elle a fait subir à ceux qui ont dénoncé le fait qu’elle torture illégalement un peu partout dans le monde. Le monde libre lui rit au nez et se serre autour du héros.
Incroyable, le Venezuela décrète une loi comme quoi n’importe quel citoyen peut être détenu par les forces armées en dehors de tout processus judiciaire. Immédiatement BHL, Kouchner, DCB s’indignent, Obama et Cameron exigent un embargo total sur le Venezuela.
La Russie fait voter une loi comme quoi les entreprises des oligarques sont désormais au-dessus de la loi et inattaquables par la justice. Et ceci est gravé dans le marbre de la loi. En même temps, Poutine fait voter une loi comme quoi chaque citoyen Russe peut tuer quiconque s’il se sent menacé.
STOP
Evidemment, vous l’avez compris, à chaque fois, ce sont les USA qui ont commis ces atteintes invraisemblables à la démocratie. Et chaque fois, silence poli, complice, approbateur. Pourtant, ils devraient se souvenir du vieux principe : « Regarde comment ils traitent les autres et tu vois là comment ils te traiteront un jour ».
Quand, ceux qui prétendent être nos élites vont-ils finir par appeler un « chat », un chat, et vont reconnaitre publiquement que non, les USA ne sont plus une démocratie, non, les USA ne sont plus une puissance bénéfique, non, les USA ne sont plus une puissance amicale.
Et ils feraient bien de le faire vite. Car il faut considérer que toutes ces abominations se pratiquent sous une administration démocrate. Là, c’est aux « gentils » qu’on a affaire. Que sera le « Grand Marché Transtlantique », que sera l’OTAN le jour où les républicains reviendront ?….
Que deviendra alors, l’Europe ? la France ?
Tapie pique une colère contre «les sites de désinformation»
PAR LAURENT MAUDUIT
Il en va de Jérôme Cahuzac comme de Bernard Tapie : dans leur stratégie de défense, l’un et l’autre ont choisi de faire le carré. De ne rien dire, de ne faire et de rien révéler des secrets dont ils sont détenteurs. L’ancien ministre du budget en a administré la preuve mortifiante, lors de son audition mercredi par la commission d’enquête parlementaire constituée à l’Assemblée nationale. Et c’est aussi cette stratégie du hérisson que l’ex-homme d’affaires a retenue pour présenter sa version du scandale qui porte désormais son nom, depuis qu’un arbitrage vraisemblablement frauduleux lui a alloué indûment, le 7 juillet 2008, 403 millions d’euros prélevés sur fonds publics.
Avec les mises en examen ces derniers jours pour « escroquerie en bande organisée » de plusieurs des acteurs de cet arbitrage – et peut-être de Bernard Tapie lui-même, vendredi, à l’issue de quatre jours de garde à vue, ce livre, intitulé « Un scandale d’État, oui ! Mais pas celui qu’ils vous racontent » (Plon, 14,90€, 230 pages), connaît une sortie perturbée. Son auteur devait en assurer la promotion ce jeudi soir au journal de 20 heures de France 2, alors qu’à la même heure il sera en fait toujours confronté à la curiosité des experts de la police judiciaire, avant sans doute d’être présenté vendredi matin aux trois juges d’instruction chargés de l’affaire.
De cette accélération de l’histoire du scandale Tapie, ce livre, écrit à la hâte, porte donc la trace car son auteur n’apporte aucune réponse précise aux irrégularités et fraude en cascade, qui ont été mises au jour par les investigations policières.
Le livre s’en tient donc à présenter une réécriture, mille fois répétée, de la version de Bernard Tapie de son différend avec le Crédit lyonnais. Version truffée d’approximations, de contrevérités et même de mensonges. Ainsi donc, Bernard Tapie ose-t-il écrire que son groupe était au début des années 1990 dans une situation financière saine, regroupant des « entreprises redressées », alors que la justice a établi que son groupe se rapprochait, dès 1990, de la situation de cessation de paiement avant d’être placé en faillite en 1994.
Ainsi présente-t-il une version totalement arrangée de la vente d’Adidas par le Crédit lyonnais, qui n’a rien à voir avec ce qui est réellement advenu (Lire Le Mensonge de Bernard Tapie), pour tenter d’accréditer l’idée que l’ex-banque publique l’aurait donc floué.
Ainsi présente-t-il une interprétation totalement surréaliste de la décision du Conseil d’État rendue le 9 octobre 2006, faisant mine de croire que la cassation partielle qui est à l’époque prononcée porte sur « deux points accessoires » – alors qu’ils sont en réalité majeurs et qu’ils permettent de comprendre le forfait qui sera ensuite commis. C’est précisément parce que Bernard Tapie était en train de perdre sa confrontation judiciaire qu’il a ensuite intrigué et obtenu de Nicolas Sarkozy que la justice de la République soit entravée et qu’un tribunal privé prenne le relai.
“La bande organisée”, vue par Tapie
Bref, Tapie fait du Tapie. Tout au long de ce livre, il baratine, il biaise, il enjolive, mais surtout il n’apporte aucune précision sur « la bande organisée » que la justice s’applique à identifier, sur les modalités de « l’escroquerie » qu’elle a été vraisemblablement ourdie, ni sur le mobile de l’intervention de Nicolas Sarkozy.
De Nicolas Sarkozy, Bernard Tapie ne dit d’ailleurs rien, sinon qu’il n’est pas à l’origine de l’arbitrage – ce qui est évidemment une contre-vérité notoire comme toutes les enquêtes de Mediapart l’ont établi. Tout juste fait-il ses éloges. De ses relations avec l’arbitre Pierre Estoup, « magistrat honoraire de tout premier plan », qui a été le premier a être mis en examen sous cette qualification infamante « d’escroquerie en bande organisée », il ne dit rien non plus. Il n’explique pas pourquoi il lui a dédicacé un livre pour lui manifester son immense reconnaissance, non plus que les missions ou consultations effectuées dans le passé par le magistrat à son profit.
Bref, Bernard Tapie ne dit rien que l’on ne savait déjà. Il manifeste juste, en creux, l’inquiétude qui le ronge. Et puis, la colère qu’il éprouve contre ceux qui, inlassablement, ont cherché depuis 2008 à faire éclater la vérité. Parlant de l’arbitrage frauduleux et des critiques dont il a fait l’objet, il a ainsi cette formule : « Les opposants se sont constitués en groupe que je vais appeler à mon tour, mais ça n’engage que moi bien sûr… “la bande organisée”. Elle est composée de deux hommes politiques, de Courson et Bayrou, du soit-disant meilleur expert en arbitrage en France, M. Clay, d’un journaliste de Mediapart et bien entendu M. Peyrelevade. »
Cette attaque contre Mediapart – et contre l’auteur de ces lignes – n’est d’ailleurs pas la seule. Car, comme on le sait, Bernard Tapie n’aime guère la presse indépendante. En pleine affaire Cahuzac, il en avait déjà administré la preuve, en estimant sur BFM-TV que les révélations de Mediapart ne présentaient pas le moindre intérêt.
Bernard Tapie : l’affaire Cahuzac “ne vaut pas…par BFMTV
L’affaire Cahuzac ne vaut « pas trois lignes », avait-il donc énoncé ce jour-là, faisant valoir que notre journal l’avait aussi gravement malmené en publiant des enquêtes tordues. « Moi, j’ai vécu des choses fausses de A à Z », avait-il ajouté sur BFM-TV.
Dans son livre, Bernard Tapie repart donc à l’assaut de Mediapart. Faisant allusion à l’une de nos enquêtes sur Pierre Estoup, publiées dès le 24 juillet 2008, pas même trois semaines après la révélation de la sentence (Lire Affaire Tapie : Pierre Estoup, un très « étrange » arbitre), il a cette formule : « Authentique spécialiste, celui-là, de l’arbitrage, (Pierre Estoup) était particulièrement qualifié, malgré les insinuations des sites de désinformation Mediapart et Bakchich, pour siéger dans un tribunal arbitral.»
Voilà donc la vérité de Bernard Tapie : un presse indépendante acharnée et de mauvaise foi, des magistrats qui ne valent guère mieux ont fini par organiser un procès en sorcellerie. Tout le reste, c’est bullshit…