Une artiste éclectique comme il se doit 🙂
88 configs d’un immeuble
La suite sur : http://victorenrich.com/?post_type=product
Johnson Tsang
Un travail très élégant tout en fluidité
A découvrir sans tarder ici : http://johnsontsang.wordpress.com/
Photo culinaires poétiques
http://www.minimiam.com/fr/gofr.html
Le site un peu laborieux mais il y a des associations plutôt sympas…
Artistes en façade !
Enquête Réseaux Sociaux
Gaz de schiste…
…soyons vigilants !
y’aurait beaucoup de compagnies qui poussent à la porte…
et vu les influences de ces lobbies, nous ne sommes pas à l’abri d’un changement de cap ! si ce n’est pas déjà fait…
http://www.terraeco.net/Les-permis-d-exploration-en-France,51332.html
Pour aller plus loin :
http://www.terraeco.net/Gaz-de-schiste-la-bataille-de,51299.html
Blog dédié http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes
Vidéo : Gasland 1 de Josh Fox (Gasland 2 à venir d’ici peu)
[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=BF2299kU3v8
Et si la mer montait…
Petite carte interactive pour vérifier si l’on va être submergé, ou pas…
http://flood.firetree.net
Super trash
Sortie le 9 octobre d’un film qui s’annonce bien gore…
SYNOPSIS
Martin revient sur les lieux de son enfance. Ces lieux sont maintenant ensevelis par une gigantesque décharge à ciel ouvert.
Seule sa cabane est toujours là, un ancien abri pour les ouvriers agricoles de l’époque, maintenant à la lisière de la décharge. Il décide de s’y installer et de vivre dans ce monde fait d!ordures et rythmé par le ballet, le va-et-vient incessant des camions et bulldozers qui déchargent et nivellent les déchets. Petit à petit les employés de la décharge se familiarisent avec sa présence et lui révèlent les secrets de cette “zone“ : l’endroit de l!enfouissement des fûts d!arsenic, le trajet du lixiviat, ce jus de décharge, ce poison mortel qui s!écoule à travers une rivière sauvage et foisonnante jusqu!à la mer. Martin, au fil des jours et des mois, va faire son trou dans ce monde invivable jusqu’à sembler aller vers la folie. Il se nourrit des ordures. Il essaye, malgré tout, de recréer un univers vivable au milieu de la valse des camions qui l’évitent en le frôlant. Le jeune homme ne veut pas se résigner, il essaye de rendre cet univers ludique, humain. Il écrit dans sa cabane son journal, ses pensées. Il se lave dans la rivière chaque jour comme de retour à un monde primaire. Il soigne les animaux prisonniers de cet enfer, il surfe sur la vague géante générée par les détritus. Il est au-delà de la dénonciation, il essaye par ce film, dans un effort désespéré, de faire une métaphore de notre monde loin de la culpabilité. Il ne veut pas accepter cet univers qui lui a été imposé, il veut se l’approprier, l’ingérer, le digérer.
Jusqu’au jour de la fermeture définitive où il sauvera une dernière mouette de l’empoisonnement. La décharge fermée, Martin erre dans ce no man’s land, avec sa caméra. Il enterre des oiseaux, traîne parmi les Caterpillar abandonnés comme s’il ne pouvait se résoudre à quitter cet endroit. Tout est recouvert de terre, mais comme des fantômes, des sacs de plastique s’échappent du sol et volent dans le ciel emportés par le vent et qui frappent la caméra.
Ils nous sauvent…
…nous les faisons disparaître !
Article :
Les limules: ils nous sauvent, nous les faisons disparaître ! – Fréquence Terre.
En savoir plus : http://leslimules.free.fr/sangbleu.html